Exposés à des situations violentes, souffrant parfois d’un manque de reconnaissance, les membres des forces de l’ordre restent souvent réticents à parler de leur malaise, voire de leurs traumatismes. Ils peuvent le faire dans le cadre d’un service dédié .Dans la police, en quatre ans, le nombre de départs anticipés a augmenté de 66%. Souffrant d’épuisement professionnel ou d’un manque de reconnaissance, confrontés à des missions de plus en plus violentes, détestés par une partie de la population, les policiers/Gendarmes/Policiers municipaux/Militaires sont en proie à un profond mal-être. Certains développent des troubles psychiques, des addictions à l’alcool ; d’autres (36% de plus que le reste de la population) vont jusqu’au suicide.


Nous proposons de les soutenir dans cette lutte personnelle et silencieuse , avec des séances à tarif préférentiel pour un meilleur quotidien professionnel, personnel, familial.